Rechercher dans le site espaces.ca
  • Crédit: MoLarjung, Shutterstock

Objectif : Manaslu

Suivez en direct (ou presque) quatre aventuriers à la conquête du Manaslu. Aucun Québécois n'a jamais atteint le sommet du Manaslu (8163 m), le huitième sommet du globe. Dans les semaines qui viennent, quatre aventuriers de la belle province vont tenter d'y fouler la cime. Si tout va bien avec leur connection satellite, vous pourrez suivre ici leurs progession en temps presque réel. Leurs textes, photographies et commentaires audio devraient nous parvenir une fois par semaine au courant du mois à venir (septembre 2010). Revenez donc voir cette page à toutes les semaines pour suivre leurs aventures et (espérons-le) leur sommet!

 

           

AUDIO
#5 - 2 oct. Le retour...
#4 - 23 sept. L'attente...
#3 - 15 sept. Camp de base
#2 - 8 sept. Vers le camp de base
#1- 1er sept. Les préparatifs

- - - - - - - - - - - -

INFOS
• Le défi du Manaslu

• L'équipe
• Haut Défi

______________________
L'aventure en images
Le 10 octobre 2010
 
 
Crédit: Haut Défi
Le Camp 3 perché à 6800 mètres.
 
Crédit: Haut Défi
François-Xavier et Frédéric sur le plateau au Camp 4.
 
 
Crédit: Haut Défi
Point le plus atteint par les deux frères ensemble (+-7500 m).
 
Crédit: Haut Défi
Point le plus haut atteint par François-Xavier (+-7700 m), il restait è peine trois heures de marche...
 
 
Crédit: Haut Défi
Notre tente au Camp 4 à 7400 mètres.
 
 
Crédit: Haut Défi
Par la porte de notre tente au Camp 4.
 
 
Crédit: Haut Défi
Dans la montée des seracs vers le Camp 4.
 
 
Crédit: Haut Défi
En redescendant vers le Camp 3, quand les expéditions commerciales montent.
 
Crédit: Haut Défi
Frédéric après 12 heures d'effort en arrivant au Camp 1 vers 18h le soir.
 
 
__________________
Chronique audio #5 :: le retour...
Le 2 octobre 2010

Écoutez la chronique #5 ici.
 
______________________
Le retour
Le 2 octobre 2010

Nous sommes présentement dans le petit village de Samagaon au pied du Manaslu. Nous avons atteint l’altitude de 7700 mètres, mais les vents forts et l’accumulation constante de neige nous a privés du sommet. Après plus de 30 jours d’expédition, nous réfléchissons à cette aventure incroyable tout en dégustant un bon repas et une boisson bien méritée. D’ici quelques jours, nous vous communiquerons tous les détails de l’expédition.
 
 
______________________
Une montée inoubliable, mais pas de sommet.
Le 1er octobre 

7 700 mètres et des flocons. Si vous saviez ce que c’est qu’un 8 000 mètres et ce qui vient avec... Une avalanche de passage, une tempête de neige interminable et un refroidissement pire que pire. Une aventure humaine secouante et déstabilisante. Des tentes de plume, nos souffles à bout. Nous revenons bientôt. En attendant, gardez vos offrandes les plus chères pour nos âmes.
 
______________________
L'assaut vers le sommet!
Le 29 septembre 2010

L’adrénaline est en nous! Une énergie qui doit être rassemblée, parce que la poussée physique est bien présente, mais il y a le mental à ne pas isoler. C’est quelque chose, nous pouvons vous l’assurer. Nous visons l’atteinte du sommet durant les premières heures de la nuit. C’est le 30 aujourd’hui : il y a encore de la place pour vos offrandes! Les ondes de toutes sortes voyagent certainement plus vite en hauteur...

 
 
______________________
Un sommet nous attend!
Le 27 septembre 2010

Nous sommes en forme, confiants, reposés et excités parce que cette semaine en est une de progression jusqu’à l’atteinte du sommet prévue pour le 1er octobre! Tout converge vers cette étape exaltante : des sherpas d’altitude préparent les cordes fixes et balisent le chemin, le soleil nous fait signe dorénavant, la moitié de nos discussions journalières gravitent autour de la stratégie sommitale. Nous sommes au Camp 2 et nous avons donc décidé d’aller de l’avant. Il n’est plus question de redescendre. Le couple Mexicain est là de même que l’Italien et l’Espagnol. Envoyez-nous des offrandes personnelles !


______________________
Tout est dans l'aller-retour
Le 25 septembre 2010

Deux bonheurs surgissent aujourd’hui, les « patates frites » et le soleil. Il faut bien avouer que le soleil a été rare ces derniers jours nous laissant dans l’ombre de la pluie tenace. Inspiré, peut-être par ce retour de lumière, notre cuisinier nous offre des crêpes, des oeufs et d’incomparables «patates frites». Comment peuvent-elles combler des humains à ce point? Voilà un mystère aussi magique qu’un rituel gurung.
 
______________________
Chronique audio #4
Le 23 septembre 2010

Écoutez la chronique #4 ici.

______________________
Le souci de boire
Le 23 septembre 2010

François-Xavier et Mathieu frôlent les 6400 mètres installés dans leur tente à boire et boire encore afin de ne pas laisser prise aux désagréables maux de tête. Pendant ce temps, Pierre et Fred, plus bas, fréquentent le Camp 1. Demain ou après-demain, nous serons réunis. Dès que le processus d’acclimatation sera complété, cette fameuse «poussée vers le sommet» deviendra un moment enthousiasmant. Cela fait tout de même 20 jours que nous baignons dans l’étendue himalayenne. Quant aux autres équipes dispersées, aucune ne dépasse notre hauteur. Nous sommes solidaires parce qu’en grimpant, en redescendant pour s’acclimater et en se dépassant, tous nos gestes réchauffent le paysage.

______________________
Nous remontons
Le 20 septembre 2010

Enfin, une belle journée de beau temps. Nous avons pu admirer le Manaslu et en profiter pour faire sécher nos vêtements et nos équipements. Il devrait faire beau toute la semaine de sorte que demain nous repartons pour le Camp 1 et ensuite pour le Camp 2. L’équipe de Russell Brice ouvrira la voie demain entre le Camp 1 et le Camp 2. Ce qui veut dire que tout devrait être en place pour notre acclimatation. Il est à noter que les communications risquent d’être un peu plus limitées pour les prochains jours. Ne vous étonnez pas si les nouvelles s’espacent auz trois ou même quatre jours! Le moral des troupes est à son meilleur!

______________________
Ah! Comme la neige a neigé!
Le 19 septembre 2010

Il neige, il pleut et il neige encore. Après avoir reçu 20 à 30 cm de neige mouillée, chaque jour, depuis notre montée au Camp 1, nous avons pris la sage décision de redescendre au camp de base. Cette grosse neige mouillée déclenche des avalanches dans la montagne et certaines tentes ont même de la difficulté à tenir le coup! Nous avons donc laissé notre tente la plus solide au Camp 1 avec tous nos équipements et avons redescendu au Camp de base. Toutes les équipes ont fait de même. Il ne nous reste plus qu’à attendre quelques jours avant que le beau temps revienne et que les conditions de neige s’améliorent. Nous avons très hâte de la voir cette montagne!

Cette situation d’attente nous permet de faire connaissance avec d’autres équipes : un couple de Mexicains avec qui nous pratiquons notre espagnol, un Israélien, dans la soixantaine, toujours heureux de nous voir et ainsi nous avons été invités à prendre le thé dans la tente de Russell Brice, directeur de la compagnie Imex (Himalaya Expericence) qui organise des ascensions commerciales en montagne depuis 1974! Un expert unique de l’Himalaya.
 
______________________
Camp 1
Le 17 septembre 2010

Nous sommes rendus et installés au Camp 1, à 5700 mètres d’altitude. Nous avons quitté le Camp de base pour environ une semaine afin de s’acclimater pus haut. Aujourd’hui, c’est une journée de repos et d’acclimatation. Nous sommes la seule équipe à avoir atteint le Camp 1 pour le moment. Le temps devrait s’améliorer ce week-end. Les autres équipes envisagent donc de nous rejoindre bientôt. Nous attendrons que quelques équipes de sherpas ouvrent la voie qui est enneigée pour le moment, avant d’entreprendre l’ascension jusqu’au Camp 2. Toute l’équipe va bien.
 
 
______________________
Chronique audio #3
Le 15 septembre 2010

Écoutez la chronique #3 ici.


______________________
Puja!
Le 14 septembre 2010

Hier, nous avons presque atteint le Camp 1 où nous avons installé une tente et y avons déposé de l'équipement et une partie de la nourriture que nous aurons besoin pour l’ascension. La première portion du trajet vers le Camp 1 traverse la moraine du glacier. Nous nous sommes ensuite encordés à des cordes fixes afin de traverser le glacier crevassé. Tout s’est bien déroulé, la condition physique de chacun est bonne et l’acclimatation se fait bien. De retour au Camp de base, nous avons pu profiter d’une bonne nuit de sommeil.

Aujourd’hui, nous avons reçu la Puja! Un Lama est monté au camp de base depuis Samagaon afin de bénir nos équipements et tous les membres de l’expédition. Nos piolets et crampons ont été déposés sur un autel de pierre avec des offrandes. Une tige au sommet de l’autel laissait battre au vent des drapeaux de prières. Le lama nous a récité des prières afin que la montagne accepte notre présence et nous protège. Tout cela sous la pluie qui est présente depuis quelques jours.

______________________
Camp de base
Le 13 septembre 2010

Nous sommes arrivés samedi au Camp de base. La montée a été moins pénible que prévu : seulement trois heures et 30 minutes de marche, mais un petit mal de tête nous attendait au Camp de base. Nous nous sommes trouvé un espace parmi les quelque 70 tentes  déjà présentes, en plus des tentes-cuisines. Environ 10 équipes sont déjà sur place, dont une importante équipe « commerciale ». Le Camp de base est situé sur un sol rocailleux étant donné la proximité des glaciers, sans compter une vue innommable sur le Manaslu.

Notre équipe est maintenant réduite à huit personnes : quatre grimpeurs, deux sherpas d’altitude, un cuisinier et son assistant. Nous sommes probablement la plus petite équipe au Camp de base. Après une bonne journée de repos (sous la pluie), à relaxer dans nos tentes, nous partons aujourd'hui pour le Camp 1 afin d'y déposer de l'équipement et de poursuivre notre processus d’acclimatation. L’ascension tant souhaitée du Manaslu est commencée! Toutes les bonnes vibrations nous animent.

 
 
______________________
Changement de porteurs
Le 10 septembre 2010
 
L’altitude commence à se faire sentir, la cadence des derniers jours ralentit. Nous ne sommes pas encore arrivés à Samagaon comme prévu. Nous avons dormis en chemin à Lho et repris la route le lendemain. Arrivés vers 10h le matin à Samagaon, nous avons changé d’équipe de porteurs. C’est une obligation pour les expéditions afin de faire travailler les porteurs locaux. Une grande partie des équipements nécessaires à l’installation du camp de base sont entreposés à Samagaon pour les expéditions sur le Manaslu. Deux chargements de 600 kg et 500 kg seront «portagés» depuis Samagaon jusqu’au au camp de base à quelques jours d’intervalle par les porteurs de Samagaon qui feront deux fois l’aller-retour.

Demain, une grosse journée de marche nous attend : sept heures de marche et 1300 mètres de dénivelé pour atteindre le camp de base à 4800 mètres d’altitude. Cet effort sera récompensé par deux ou trois jours de repos et d’acclimatation avant de commencer l’ascension du Manaslu.Nos sherpas Dawa et Nima nous apprennent quelques mots de népalais tous les jours. Après 45 jours d’expédition avec eux, nous serons sûrement en mesure de parler un peu cette langue...
 
______________________
Sama!
Le 8 septembre 2010
 

Il pleut, il pleut et il pleut encore! Ce qui n’aide pas à diminuer l’humidité dans l’air. Nous avons quitté Ghap (2380 mètres) tôt se matin pour entreprendre les 8h de marche qui nous sépare de Sama (3390 mètres), le dernier village avant le camp de base du Manaslu. Malgré cette pluie, les villageois sont toujours aussi accueillants et souriants. La végétation « tropicale » et verdoyante a laissé sa place à une forêt de conifères. C’est une bonne chose, c’est un signe que l’on gagne de l’altitude.



>>> Écoutez la 2e capsule audio ici <<<

______________________
Sur le trek
Le 6 septembre 2010
 
Après avoir traversé de petits villages bordés de rizières, nous sommes entrés dans une étroite vallée très encaissée. Le sentier longe une rivière où des centaines de chutes s’y déversent. La nature est luxuriante et éblouissante. On comprend bien maintenant comment cette humidité nous fait tordre nos t-shirts! Heureusement, il y a la rivière pour nous rafraîchir! Toute l’équipe va très bien. Quant à notre sherpa Dawa, il s’occupe à merveille de nous jusqu’à maintenant. Nous amorçons nos journées tôt afin de profiter de la fraîcheur matinale. Nous avons passé les deux dernières nuits dans des villages composés seulement de quelques maisons, soit Lapubesi et Dhoban.

Nous avons pu profiter de l’unique « lodge » dans chacun de ces villages pour y installer notre campement et profiter ainsi de leur salle commune pour y manger. Si nous continuons à ce rythme (sept heures de marche par jour), nous serons au camp de base dans deux ou trois. Hier, nous avons pu sentir un peu de fraîcheur en fin de journée. Quel bonheur! Il faut dire que nous sommes maintenant à 1300 mètres d’altitude! Encore quelques 6863 mètres...

Chroniques horizontales
Se souhaiter bonne route en bordure de la rivière Buri Gandaki, d’Arughat vers Jagat et éventuellement Sampa Gompa, c’est retrouver une fois de plus un effet de tension propre aux hautes montagnes. Cet effet est à l’image des précautions qu’il faut prendre pour franchir les ponts ou les passerelles, le long de notre ascension, qui reposent, instables, sur des rochers et des éboulis.

En même temps que notre tête et notre corps réagissent à divers obstacles contraignants, notre volonté éprouvée de contempler et de dominer le paysage rejaillit constamment. S’ajoute à cela une autre dimension particulière : celle d’envisager que le grimpeur avance à reculons. Son temps passe du monde des villages étagés à celui des alpages avant de se mesurer au monde minéral où s’accrochent de rares manifestations de vie qui se retireront devant les conditions climatiques sévères du monde sommital. Même le temps de respiration du grimpeur va reculer. Toujours cette opposition entre l’insécurité et cette force agissante qui nous guide vers un accomplissement souhaité.


______________________
Et c'est un départ
Le 3 septembre 2010
Notre route vers Arughat à bord des 4x4 a été plutôt longue et très humide. Malgré la ténacité des chauffeurs, nous ne nous sommes pas rendus à bon port (métaphore maritime...). Les 4x4 se sont enlisés dans la boue : nous avons dû compléter à pied accompagnés des deux porteurs Dawa et Nima. Une ambiance tout à fait différente s’est installée : un contraste saisissant entre la folie de la ville et le calme des petits villages de montagne. Les autres membres de l’équipe nous rejoindront ce soir. Nous avons bel et bien commencé notre trek qui se poursuivra pour les neuf prochains jours!

Chroniques horizontales
Le passage initiatique de la ville de Katmandou a eu lieu. Une ville où les divinités sont dans les temples, les roches, les maisons, partout. Il y a les divinités bienfaisantes qui sont vénérées, mais l’imaginaire népalais a depuis des siècles été surtout captivé par les yeux rouges de visages sombres qui inspirent l’effroi. En ce sens, les légendes d’ici racontent que les dieux (et donc les rois) possédaient des qualités qui ressemblaient aux défauts des démons. Bien sûr, l’ordre du monde suppose un certain désordre.

En quittant cette ville démesurée, l’évidence des sommets dépasse le spectaculaire : à lui seul, le territoire himalayen semble porter le ciel au complet! L’Himalaya est un continent en élévation qui provoque une vision dont il faut absorber l’effet. Laisser nos traces dans un sentier de l’Himalaya, c’est aussi s’élever un peu. Ici, dans cette autre dimension, notre parcours est à la fois un voyage, une ascension et une initiation vers un type de « surnaturel ». Nous déambulons comme si nous n’avions pas à nous convaincre que l’expérience aventurière de la montagne est la plus grande des ferveurs pour l’âme.
 
 
______________________

Le trek commence... demain.
Le 2 septembre 2010

À bord de deux grands minibus, nous sommes en route vers le départ du trek. Une équipe importante voyage avec nous : près de 35 porteurs, un chef cuisinier et ses assistants ainsi que nos deux sherpas dont l’un gère tout ce beau monde. Une équipe efficace de pros... sauf que nous n’avons pu nous rendre à destination : la route est très accidentée à cause de la mousson qui se terminera en septembre. Nous sommes donc à Dhading Beshi où nous allons passer la nuit, les fourmis dans les jambes. Très tôt demain, nous embarquerons à bord de 4x4 afin de parcourir les dernières six heures de route (mais non les moindres!) dans le but d’atteindre le village où se trouve le départ du trek du Manaslu : Arughat. La grande aventure à pied débutera donc demain!

______________________
Les préparatifs : 1ere capsule audio
Le 1er septembre 2010

Les gars sont sur le point de partir à l'attaque du Manaslu. Ils viennent de nous appeler pour nous donner les derniers détails de leurs préparatifs.
>>> Écoutez ici <<<
 
 
______________________
Arrivée au Népal
Le 31 août 2010
 

Les gars sont bel et bien arrivés au Népal.

« Aujourd'hui, nous avons fait la rencontre des deux Sherpas d'altitude qui vont accompagner François et Mathieu : Dawa et Lhakpa Sherpa, deux super mecs avec des années d'expérience. Dawa a réussi deux fois le sommet de l'Everest et Lhakpa 14 fois! Ce sera également une très bonne source d'information pour Pierre et Fred qui vont tenter l'ascension sans Sherpas d'altitude. Nous avons passé le reste de la journée à parcourir et visiter la ville. »


 

______________________

30 août 2010

«
Nous sommes bel et bien arrivés à Katmandou après 30h de vol et de transits, nous avons été accueillis chaleureusement par des Népalais. Nous avons vécu (pour certains) nos premiers moments au Népal, plus particulièrement dans la ’’folie’’ de Katmandou. Quelques jours de préparatifs et de rencontres avec l’équipe locale avant le grand départ le 2 septembre prochain, soit le début du trek.
»

______________________
Départ
Le 28 août 2010
 
Ça y est, après plusieurs mois de préparation et d’entraînement, c’est le grand départ ce samedi le 28 août. Plusieurs petits détails restent à finaliser, mais l’essentiel est prêt. Le mont Manaslu sera notre prochain défi et nous avons bien hâte de commencer l’ascension. Vous pouvez suivre l’expédition en direct sur ce site que nous allons alimenter régulièrement. Si vous avez des commentaires ou des mots d’encouragement, vous pouvez les envoyer à l’adresse info@hautdefi.ca.
 
______________________
Montréal - Québec : c'est fait!
Le 19 juillet 2010

Mission accomplie, nous avons franchi les 285 km reliant Saint-Bruno-de-Montarville à Québec en 9 heures 10 minutes, soit une moyenne de 31 km/h! Nous devons remercier les cyclistes du Cyclo Défi contre le cancer qui effectuaient la route jusqu’à Trois-Rivières. Nous nous sommes joints à eux depuis Berthierville afin de profiter de l’aspiration de certains pelotons. Nous avons même eu une bonne main d’applaudissements à notre arrivée à Trois-Rivières. L’exercice fut très bon pour le moral, car nous savons maintenant que nous sommes capables de faire une activité sportive intense, ensemble!
 
______________________
St-Bruno - Québec à vélo (285 km)
 

Aujourd’hui, deux gars de l’équipe Défi Manaslu 2010 partent, en matinée, de St-Bruno-de-Montarville, leur ville natale, pour se rendre à Québec aller voir un spectacle du Festival d’été! Blague... Ils se lancent un défi de taille en préparation à un autre défi de taille, celui de l’ascension de leur premier 8000 mètres. Le parcours consistera à remonter jusqu’à Sorel par les rangs agricoles, ensuite prendre le traversier jusqu’à Berthierville, pour finalement rejoindre la route du Roi (138) jusqu’aux Plaines d’Abraham à Québec, où une ancienne partenaire de montagne nous y attend. Le tout devrait prendre environ 10 heures à une vitesse moyenne de 25 km/h. Bon, ce n’est pas le Tour de France, mais c’est naturel.... Ce périple peut être suivi sur le Facebook de François-Xavier en direct. Nous nous souhaitons bonne chance, à une heure du départ!

Crédit: Haut Défi

Commentaires (1)
Participer à la discussion!

MarioPolar - 17/09/2010 19:06
Bonne chance les boys. Ne perdez pas votre focus à la recherche des Guanacos! Au plaisir d'entendre vos histoires autour d'une bonne bouteille de vin...argentin!

Mario
Lac Simon